martes, 26 de febrero de 2013

Genoveses

Genova 13?
Genoveses negros?
Los genoveses son una mafia española, que campa en la calle genova de madrid, en el numero 13.
Da la casualidad que es un partido político, que democráticamente ha sido elegido para gobernar España, y depaso sanearla.
Eso, para los que no están al tanto significa recortar derechos, robar lo que se pueda, enchufar a todos los amigos y parientes, mentir con un descaro tremebundo, espiar, prevaricar, "cohechar", y resto de actividades delictivas relacionadas con el dinero, los favores y la corrupción. Va incluido vender un país.
Herederos del franquismo más rancio y criminal, la mayoría de la casta del PP está metida en unos fregados de los cuales no sabe ni cómo salir.
Se les ve mentir a leguas. Ya ni saben disimular. No hay argumentos.
Cuando le enseño a mis hijos que se coge antes a un mentiroso que a un cojo es por algo.
Estos están cogidos por los huevos. A las señoras maruqesas y duquesas, por donde les plazca.

Intentar resumir su historial delictivo es una tarea titánica de la cual yo no puedo hacerme cargo, pero sí quiero recomendar

http://www.losgenoveses.net

Lo han hecho. Está todo allí. Demasiada información y demasiada mierda que les salpica para que esta marca España que tanto defienden sea creíble con ellos.
No digo que otros sean mejores.
Digo que hoy,  son ellos los que escandalosamente pervierten una situación que se ha vuelto insostenible.

¿Obama y Putin se quieren repartir OM?

por Thierry Meyssan

Dans un article publié le 26 janvier dernier en Russie, Thierry Meyssan expose le nouveau plan de partage du Proche-Orient sur lequel travaillent la Maison-Blanche et le Kremlin. L’auteur y révèle les principales données de la négociation en cours sans préjuger d’un accord définitif, ni de sa mise en œuvre. L’intérêt de l’article est qu’il permet de comprendre les positions ambigües de Washington qui pousse ses alliés dans une impasse de manière à pouvoir leur imposer prochainement une nouvelle donne dont ils seront exclus.



Le président Obama s’apprête à changer complètement de stratégie internationale, malgré l’opposition que son projet a suscité dans sa propre administration.

Le constat est simple. Les États-Unis sont en passe de devenir indépendants au plan énergétique grâce à l’exploitation rapide des gaz de schistes et du pétrole des sables bitumineux. Par conséquent la doctrine Carter (1980) selon laquelle la sécurisation de l’accès au pétrole du Golfe est un impératif de sécurité nationale est morte. De même d’ailleurs que l’Accord du Quincy (1945) selon lequel Washington s’engage à protéger la dynastie des Séoud si ceux-ci leur garantissent l’accès au pétrole de la péninsule arabique. Le temps est venu d’un retrait massif qui permettra de transférer les GI’s vers l’Extrême-Orient afin de contenir l’influence chinoise.

D’autre part, tout doit être fait pour empêcher une alliance militaire sino-russe. Il convient donc d’offrir des débouchés à la Russie qui la détournent de l’Extrême-Orient.

Enfin, Washington étouffe de sa relation trop étroite avec Israël. Celle-ci est extrêmement onéreuse, injustifiable au plan international, et dresse contre les États-Unis l’ensemble des populations musulmanes. En outre, il convient de sanctionner clairement Tel-Aviv qui s’est ingéré de manière ahurissante dans la campagne électorale présidentielle US, qui plus est en misant contre le candidat qui a gagné.

C’est trois éléments ont conduit Barack Obama et ses conseillers à proposer un pacte à Vladimir Poutine : Washington, qui reconnaît implicitement avoir échoué en Syrie, est prêt à laisser la Russie s’installer au Proche-Orient sans contrepartie, et à partager avec elle le contrôle de cette région.

C’est dans cet état d’esprit qu’a été rédigé par Kofi Annan le Communiqué de Genève
du 30 juin 2012. À l’époque, il s’agissait juste de trouver une issue à la question syrienne. Mais cet accord a été immédiatement saboté par des éléments internes de l’administration Obama. Ils ont laissé fuiter à la presse européenne divers éléments sur la guerre secrète en Syrie, y compris l’existence d’un Presidential Executive Order enjoignant la CIA de déployer ses hommes et des mercenaires sur le terrain. Pris en tenaille, Kofi Annan avait démissionné de ses fonctions de médiateur. De son côté, la Maison-Blanche avait fait profil bas pour ne pas exposer ses divisions en pleine campagne pour la réélection de Barack Obama.

Dans l’ombre trois groupes s’opposaient au communiqué de Genève :
• Les agents impliqués dans la guerre secrète ;
• Les unités militaires chargées de contrer la Russie
• Les relais d’Israël.

Au lendemain de son élection, Barack Obama a débuté la grande purge. La première victime fut le général David Petraeus, concepteur de la guerre secrète en Syrie. Tombé dans un piège sexuel tendu par une agente du Renseignement militaire, le directeur de la CIA fut contraint à la démission. Puis, une douzaine de hauts gradés furent mis sous enquête pour corruption. Parmi eux, le suprême commandeur de l’OTAN (amiral James G. Stravidis) et son successeur désigné (le général John R. Allen), ainsi que le commandant de la Missile Défense Agency —c’est-à-dire du « Bouclier anti-missiles »— ¬(général Patrick J. O’Reilly). Enfin, Susan Rice et Hillary Clinton faisaient l’objet de vives attaques pour avoir caché au Congrès des éléments sur la mort de l’ambassadeur Chris Stevens, assassiné à Benghazi par un groupe islamiste probablement commandité par le Mossad.

Ses différentes oppositions internes étant pulvérisées ou paralysées, Barack Obama a annoncé un renouvellement en profondeur de son équipe. D’abord, John Kerry au département d’État. L’homme est partisan déclaré d’une collaboration avec Moscou sur les sujets d’intérêt commun. Il est aussi un ami personnel de Bachar el-Assad. Puis, Chuck Hagel au département de la Défense. C’est un des piliers de l’OTAN, mais un réaliste. Il a toujours dénoncé la mégalomanie des néo-conservateurs et leur rêve d’impérialisme global. C’est un nostalgique de la Guerre froide, ce temps béni où Washington et Moscou se partageaient le monde à moindres frais. Avec son ami Kerry, Hagel avait organisé en 2008 une tentative de négociation pour la restitution par Israël du plateau du Golan à la Syrie. Enfin John Brennan à la CIA. Ce tueur de sang-froid est convaincu que la première faiblesse des États-Unis, c’est d’avoir créé et développé le jihadisme international. Son obsession est d’éliminer le salafisme et l’Arabie saoudite, ce qui en définitive soulagerait la Russie au Nord-Caucasse.

Simultanément, la Maison-Blanche a poursuivi ses tractations avec le Kremlin. Ce qui devait être une simple solution pour la Syrie est devenu un projet bien plus vaste de réorganisation et de partage du Proche-Orient.

On se souvient qu’en 1916, à l’issue de 8 mois de négociations, le Royaume-Uni et la France se partagèrent en secret le Proche-Orient (Accords Sykes-Picot). Le contenu de ces accords avait été révélé au monde par les Bolcheviks dès leur arrivée au pouvoir. Il s’est poursuivi durant près d’un siècle. Ce que l’administration Obama envisage, c’est un remodelage du Proche-Orient pour le XXIe siècle, sous l’égide des USA et de la Russie.




Aux États-Unis, bien qu’Obama se succède à lui-même, il ne peut dans la période actuelle qu’expédier les affaires courantes. Il ne reprendra ses attributions complètes que lors de sa prestation de serment, le 21 janvier. Dans les jours qui suivront, le Sénat auditionnera Hillary Clinton sur le mystère de l’assassinat de l’ambassadeur en Libye (23 janvier), puis il auditionnera John Kerry pour confirmer sa nomination (24 janvier). Immédiatement après, les 5 membres permanents du Conseil de sécurité se réuniront à New York pour examiner les propositions Lavrov-Burns sur la Syrie.

Celles-ci prévoient la condamnation de toute ingérence extérieure, le déploiement d’observateurs et d’une force de paix des Nations Unies, un appel aux différents protagonistes pour qu’ils forment un gouvernement d’union nationale et planifient des élections. La France devrait s’y opposer sans pour autant menacer d’utiliser son veto contre son suzerain US.

L’originalité du plan, c’est que la force des Nations Unies serait principalement composée par des soldats de l’Organisation du Traité de Sécurité Collective (OTSC). Le président Bachar el-Assad resterait au pouvoir. Il négocierait rapidement une Charte nationale avec des leaders de l’opposition non-armée sélectionnés avec l’approbation de Moscou et Washington, et ferait valider cette charte par référendum sous contrôle des observateurs.

Ce coup de théâtre a été préparé de longue date par les généraux Hassan Tourekmani (assassiné le 18 juillet 2012) et Nikolay Bordyuzha. Une position commune des ministres des Affaires étrangères de l’OTSC a été conclue le 28 septembre et un Protocole a été signé entre le département onusien de maintien de la paix et l’OTSC. Celle-ci dispose maintenant des mêmes prérogatives que l’OTAN. Des manœuvres communes ONU/OTSC de simulation ont été organisées au Kazakhstan sous le titre « Fraternité inviolable » (8 au 17 octobre). Enfin, un plan de déploiement de « chapkas bleues » a été discuté au sein du Comité militaire de l’ONU (8 décembre).

Une fois la Syrie stabilisée, une conférence internationale devrait se tenir à Moscou pour une paix globale entre Israël et ses voisins. Les États-Unis considèrent qu’il n’est pas possible de négocier une paix séparée entre Israël et la Syrie, car les Syriens exigent d’abord une solution pour la Palestine au nom de l’arabisme. Mais il n’est pas possible non plus de négocier une paix avec les Palestiniens, car ceux-ci sont extrêmement divisés, à moins que la Syrie ne soit chargée de les contraindre à respecter un accord majoritaire. Par conséquent, toute négociation doit être globale sur le modèle de la conférence de Madrid (1991). Dans cette hypothèse, Israël se retirerait autant que faire se peut sur ses frontières de 1967. Les Territoires palestiniens et la Jordanie fusionneraient pour former l’État palestinien définitif. Son gouvernement serait confié aux Frères musulmans ce qui rendrait la solution acceptable aux yeux des gouvernements arabes actuels. Puis, le plateau du Golan serait restitué aux Syriens en échange de l’abandon du lac de Tibériade, selon le schéma envisagé jadis aux négociations de Shepherdstown (1999). La Syrie deviendrait garante du respect des traités par la partie jordano-palestinienne.

Comme dans un jeu de domino, on en viendrait alors à la question kurde. L’Irak serait démantelé pour donner naissance à un Kurdistan indépendant et la Turquie serait appelée à devenir un État fédéral accordant une autonomie à sa région kurde.

Côté US, on souhaiterait prolonger le remodelage jusqu’à sacrifier l’Arabie saoudite devenue inutile. Le pays serait divisé en trois, tandis que certaines provinces seraient rattachées soit à la fédération jordano-palestinienne, soit à l’Irak chiite, conformément à un vieux plan du Pentagone ("Taking Saudi out of Arabia", 10 juillet 2002). Cette option permettrait à Washington de laisser un vaste champ d’influence à Moscou sans avoir à sacrifier une partie de sa propre influence. Le même comportement avait été observé au FMI lorsque Washington a accepté d’augmenter le droit de vote des BRICS. Les États-Unis n’ont rien cédé de leur pouvoir et ont contraint les Européens à renoncer à une partie de leurs votes pour faire de la place aux BRICS.

Cet accord politico-militaire se double d’un accord économico-énergétique, le véritable enjeu de la guerre contre la Syrie étant pour la plupart des protagonistes la conquête de ses réserves de gaz. De vastes gisements ont en effet été découverts au Sud de la Méditerranée et en Syrie. En positionnant ses troupes dans le pays, Moscou s’assurerait un plus large contrôle sur le marché du gaz dans les années à venir.

Le cadeau de la nouvelle administration Obama à Vladimir Poutine se double de plusieurs calculs. Non seulement détourner la Russie de l’Extrême-Orient, mais aussi l’utiliser pour neutraliser Israël. Si un million d’Israéliens ont la double nationalité états-unienne, un autre million est russophone. Installées en Syrie, les troupes russes dissuaderaient les Israéliens d’attaquer les Arabes et les Arabes d’attaquer Israël. Par conséquent, les États-Unis ne seraient plus obligés de dépenser des sommes phénoménales pour la sécurité de la colonie juive.

La nouvelle donne obligerait les États-Unis à reconnaître enfin le rôle régional de l’Iran. Cependant Washington souhaiterait obtenir des garanties que Téhéran se retire d’Amérique latine où il a tissé de nombreux liens, notamment avec le Venezuela. On ignore la réaction iranienne à cet aspect du dispositif, mais Mahmoud Ahmadinejad s’est d’ores et déjà empressé de faire savoir à Barack Obama qu’il ferait tout ce qui est en son possible pour l’aider à prendre ses distances avec Tel-Aviv.

Ce projet a des perdants. D’abord la France et le Royaume-Uni dont l’influence s’efface. Puis Israël, privé de son influence aux États-Unis et ramené à sa juste proportion de petit État. Enfin L’Irak, démantelé. Et peut-être l’Arabie saoudite qui se débat depuis quelques semaines pour se réconcilier avec les uns et les autres afin d’échapper au sort qui lui est promis. Il a aussi ses gagnants. D’abord Bachar el-Assad, hier traité de criminel contre l’humanité par les Occidentaux, et demain glorifié comme vainqueur des islamistes. Et surtout Vladimir Poutine qui, par sa ténacité tout au long du conflit, parvient à faire sortir la Russie de son « containment », à lui rouvrir la Méditerranée et le Proche-Orient et à faire reconnaître sa prééminence sur le marché du gaz.

domingo, 24 de febrero de 2013

Exculpación

Bonito palabro hoy en día.
Exculpación: descragar a alguien de culpa.

Culpa:

(Del lat. culpa).
1. f. Imputación a alguien de una determinada acción como consecuencia de su conducta. Tú tienes la culpa de lo sucedido.

2. f. Hecho de ser causante de algo. La cosecha se arruinó por culpa de la lluvia.

3. f. Der. Omisión de la diligencia exigible a alguien, que implica que el hecho injusto o dañoso resultante motive su responsabilidad civil o penal.

4. f. Psicol. Acción u omisión que provoca un sentimiento de responsabilidad por un daño causado.

Actualmente todos exculpan.
El yerno al suegro. Pero el Rey si le exculpa alguien que va a ir a la carcel lo tiene muy mal, y por ello declara que por su bien, vamos, el bien de su corona, mejor que el yerno vaya a la carcel.
Arenas exculpa a cospedal, que a su vez exculpa a su jefe, el loco y lisérgico Mariano.
Pero este como está en un estado catatónico de enajenación mental, no dice nada. Como siempre.
Exculpa el PP a todos sus miembros. Los unos a los otros como buenos cristianos. Pero esta vez no es para darse la paz, sino la guerra.
El ministro de justicia, que tanto se creció por un asalto a un supermercado calla cuando asaltan a su país.
El ex-alcalde exculpa a su señora, que asu vez exculpa a su marido y a ella misma de cualquier asunto turbio.
Bolsos, coches, fiestas, viajes aparte.
Exculpan a los corruptos pero condenan a los jueces que buscan justicia.

Los socialistas españoles ( si es que quedan) no tienen nada que ver y con la voz baja, exculpan a su oposición, y a ellos mismos de cualquier culpa actual futura o pasada.

Por si no basta, el Papa ( no el mío, el de otros) exculpa a muchos de lo que ya sabemos qué han hecho. Minucias de pederastia aparte, los tratos con la mafia y las oligarquías económicas no se pueden exculpar: no existen.

EEUU, se autoexculpa enfermizamente de todo. Ni sus empresas de "rating", ni sus bancos, ni sus buitres o tiburones ( dependiendo de la opción de cada unos sobre los animales marinos o los que vuelan) económicos, ni su reserva federal, ni su militarismo, ni sus guerras ilegales, ni sus asesinatos, ni su propaganda, están fuera de su propia exculpación.
Además, exculpa a los terroristas donde les interesa: En Siria ahora mismo. Si eso no es terrorismo qué es?
Exculpa desde siempre a su criatura infernal que es Israel, que se ha vuelto un hijo mimado insoportable para todos.

Autoexculparse: NO EXISTE
Pero está de moda.
Una definición sería negar la realidad.
Otra: negarlo todo.
Otra: echar la culpa a los otros. Que sería culpar a los demás pero justo cuando tú tienes la culpa.

En ese terreno se mueve desde siempre Israel y EEUU.
La culpa es siempre de los demás. Y por ello les masacran.

Israel se autoexculpa de todo lo que hace, y de todo lo que ocurre en su vecindario y más lejos aún.

La ONU exculpa a toda la pnadilla de amigos.
El FMI se autoexculpa de la mala situación económica muncidal.
El BCE exculpa a los bancos nacionales.
Estos asu vez exculpan a sus gobiernos, que a su vez exculpan a otros, o si son de signo contrario los culpan.

Los gobiernos afines al imperio no tienen nada que ver con absolutamente nada de lo que ocurre.
Ni en Libia, ni Tunez, ni Egipto, ni los golfos del golfo, ni en Yemen...
Ni en Bahrein.

Nadie tiene nada que ver con lo que hace.
Nadie reconoce absolutamente nada del daño hecho como propio.




martes, 12 de febrero de 2013

INDULTOS A MANOS LLENAS

por Javier Marias



Les ruego que reconozcan sinceramente que, como me pasaba a mí, hasta hace muy poco no le habían dedicado un pensamiento a la Ley del Indulto ni a su aplicación en España. En lo que a mí respecta, suponía que era algo excepcional y que siempre se explicaba o argumentaba, al menos si alguien solicitaba al Gobierno argumentos o explicaciones de por qué se perdonaba la pena –es decir, se eximía de cumplirla– a un reo condenado, a alguien cuya culpa había sido demostrada en juicio. Me imaginaba que habría tres, cinco, diez indultos al año, algo así –no había prestado atención, ya lo confieso–, y que vendrían dictados por fundadas razones: la pésima salud o la avanzada edad de un preso, su terrible situación familiar, su claro arrepentimiento o su rehabilitación indudable, su falta de peligrosidad, la certeza de que no reincidiría. O bien su trayectoria anterior a la comisión del delito: hay personas tan útiles a la sociedad que su caída en unatentación, o su metedura de pata, o su momentánea flaqueza, no deberían pesar más que un largo historial de probidad y buen servicio. Por así expresarlo, el encarcelamiento de un individuo en conjunto honrado y benéfico, por un error o mala decisión no muy graves, puede no compensar, si se pierde más con su exclusión de lo que se gana con su castigo.















Si hemos empezado a preguntarnos por esta práctica es por la llamativa arbitrariedad de ciertos indultos recientes: cuatromossos d’esquadra condenados por torturas, algún empresario o político o banquero, dos militares responsables del famoso accidente del Yak-42, un conductor kamikaze que mató a un hombre en su demencial carrera. En este último caso la única sospecha del posible motivo para la condonación es tan vergonzosa que más vale descartarla: al kamikaze lo habría defendido en su día un bufete en el que al parecer trabajan un hermano del conocido miembro del PP Ignacio Astarloa y un hijo de Gallardón. Por contraste ha clamado al cielo que no se haya concedido el indulto, profusamente solicitado, a un ex-toxicómano que lleva a cabo tareas sociales desde hace tiempo, llamado Reboredo, mientras Esperanza Aguirre ha anunciado que va a pedirlo para su temerario cachorro Carromero, tras ir corriendo a visitarlo, como una madrina, a la prisión en la que permaneció pocos días tras su celérico rescate de Cuba por el Gobierno.


Si un día se condena a los responsables de la trama 'Gürtel', éstos podrán ser indultados"


¿Excepcionales los indultos, como uno se figuraba? En modo alguno. Resulta que todos nuestros Gobiernos, del signo que fueran, los repartieron con manga ancha. Suárez, 410 en menos de dos años; Calvo-Sotelo, 878 también en menos de dos años; Felipe González, 5.944 en trece y pico; Aznar, 5.948 en ocho; Zapatero, 3.378 en siete y pico; Rajoy lleva 501 en tan sólo uno. La suma total es de 17.059. Párense un momento: 17.059 personas convictas, una a una perdonadas. Se dice pronto, pero si se ponen a contar, antes de llegar a 50 ya se habrán aburrido, y todavía les faltarían 17.009. La media de indultados es de unos 500 anuales, más de uno diario, todos los días a lo largo de treinta y cuatro años. Y, claro está, eso significa que la labor de fiscales, abogados, policías, testigos, jurados, jueces, ha sido poco menos que inútil 500 veces al año. No es raro que la justicia vaya tan lenta, si se dedican horas y horas a probar delitos cuyas penas no se cumplen por capricho del Gobierno de turno. Porque, si uno echa un vistazo a la Ley de Indultos, descubre: a) que la que está vigente y se aplica, con mínimas modificaciones, data de 1870; b) que tal medida de gracia no es recurrible nunca: es una decisión gubernamental contra la que no caben alegaciones ni protestas; c) que dicha decisión es “discrecional”, es decir, el Gobierno no está obligado a explicar por qué otorga un indulto; lo concede con absoluta opacidad o hermetismo, o con tenebrosidad, mejor dicho; d) que son susceptibles de esa indulgencia los reos de toda clase de delitos; luego, si mal no entiendo, lo son también los violadores y asesinos.

Sin duda se percatan ustedes del significado de todo esto: lo que establece la justicia, uno de los poderes supuestamente independientes, fundamental en todo Estado de Derecho, puede quedar sin efecto y puede saltárselo a la torera el Ejecutivo (a través del Ministerio de Justicia, tiene guasa) si así lo decide, sin justificarse ante nadie y sin que quepa recurso alguno contra su arbitrariedad. Si un día se condena a los responsables de la trama Gürtel, éstos podrán ser indultados. Si un día se captura a Anglès, acusado de los crímenes de Alcàsser, y se lo condena en firme, podría ser indultado. Los etarras con delitos de sangre, los causantes de la matanza del 11-M, podrían ser indultados. Seguirían siendo culpables, su delito no sería “borrado” (esa posibilidad también existe, pero se llama amnistía, no indulto), pero se los eximiría de cumplir sus condenas porque así se le antojaría a un Gobierno. La cosa es tan flagrantemente injusta y tan loca que no se entiende que semejante ley, literalmente decimonónica, perviva y no esté derogada en 2013. Y aún menos que todos nuestros Presidentes se dediquen a hacer uso de ella, con ligereza y a manos llenas. Por ceñirnos al año pasado, 501 delincuentes (no presuntos, sino así declarados tras juicio) han sido puestos en libertad y perdonados. ¿Quiénes son? ¿Por qué motivo? La respuesta de nuestros gobernantes es esta siempre: “No tenemos que rendir cuentas a nadie, ni siquiera a quienes nos han elegido”. Eso es todo.

domingo, 10 de febrero de 2013

Antonio Muñoz Molina se apunta al carro sionista

La mano de Sion es poderosa. Su dinero también.
Muñoz Molina, "U" en la academia de las letras española, ha sido agraciado con el premio Jerusalém.
No se sabe qué presitgio tiene ese galardón, ni el montante del mismo, pero por sus cojones lo va a recoger, pese a quién pese, y guste aquien guste.
En una carta abierta se le explica lo que es Israel y lo que hace. Pero parece que la letras están reñidas con la sensatez, con la honradez, con la egolatría, y con las leyes que defienden a los débiles.
Antoño Muñoz Molina reacciona y se complace de su premio a pesar de que le "está causando un disgusto". Eso queda bien. Un disgustillo para recibir la pasta no está mal.
Lo que daría un palestino, un libanes, un sirio, un irakí, o un iraní por ese premio. Y otros.

Otro personaje que justifica lo injustificable, para ir a por su premio.
En su día ya pasaron los RHCP, y los "luchadores por la libertad" de Sabina y Serrat.

Me gustaría saber qué opina Muñoz Molina sobre las constantes violaciones de las resoluciones de las resoluciones del consejod de seguridad de la ONU por parte de Israel desde su fundación.
Las más recientes relativas al espacio aéreo libanés, y la soberanía siria.
Tiene algo que decir? Cómo sería su discurso de agradecimiento por el premio? Sería políticamente correcto? Se mojaría o hablaría de sus libros sin más?
Qué opina su señora, tan metida en observar a la gente y al mundo. Claro que ella no es el, pero entre los dos, habría que ver qué suman al respecto.

Pues bien, ya le han dado el galardon, y no pasa nada.

miércoles, 6 de febrero de 2013

La cópula del PP

por Manuel Saco


La empatía es, según el DRAE, la identificación mental y afectiva de un sujeto con el estado de ánimo de otro. La gente poco empática, antiempática diríamos, se caracteriza por su habilidad para sentarse ante el televisor, por ejemplo, y no sentir la menor emoción ante las imágenes de la desolación provocada por un terremoto, de un tsunami, de una riada devastadora con cadáveres flotando, de un edificio en llamas, o de un mendigo durmiendo en la calle bajo unos periódicos que le sirven de sábana. Esa gente sin empatía alguna es capaz de detenerse delante del mendigo, pero sólo para leer gratis el periódico que le cobija. Los más crueles, ante ese desgraciado despojo humano, envuelto en las páginas centrales de La Gaceta o de La Razón, harían comentarios jocosos como este: “Mira tú, tanto meterse con la prensa de derechas, pero al final es la única que hace algo por la gente pobre”.

Yo, que me considero un tío empático, ante el tsunami que ha barrido al Partido (en mil pedazos) Popular en estos últimos días, no puedo permanecer impasible, con cara de circunstancias, dedicándome a leer distraídamente los periódicos que envuelven sus miserias sin ponerme en la piel de los que están debajo pasando frío, de los que sufren los efectos catastróficos, digo sobrecogedores, del huracán Bárcenas que ha puesto a la intemperie la moral, que ellos presumían intachable, de ese nuevo tipo de pobres pero honrados que tanto proliferan en las crisis morales, de los que saben que es mejor robar en silencio que importunar a gritos a la gente pidiendo por la calle con las manos roñosas extendidas. “Señorito, es peor de pedir que de robar”.

Veamos. ¿Qué haría yo si fuera del PP? Pues como ya han apuntado autores más versados que yo en técnicas de camuflaje, seguir al pie de la letra la hoja de ruta del tipo al que su mujer le pilla en la cama con otra: “Cariño, esto no es lo que parece”, mientras intenta tapar con las palmas de las manos su enorme (¡ejem!) turbación como haría cualquier empalmado duque de palma de la mano. Porque lo primero que piensas ante las páginas de la presunta caja B del PP mostradas por el diario El País es que podía haber sido peor, mucho peor, como que su mujer le hubiese pillado en la cama con una menor o bien con el niño cuyo disfrute se reparten a medias con su confesor pederasta, lo que no es pecado, pero sí es delito.

Porque la señora, la niña o el niño (los jueces calificarán, tarde o temprano, la naturaleza de la víctima, y si solo es pecado y no delito) que han pillado en la cama de la cópula del PP (se llama cópula cuando toda la cúpula folla al mismo tiempo) es nada menos que el sistema democrático de un país enfermo, de cuya debilidad sus cuidadores se aprovechan para perpetrar el abuso continuado.

Todo en este caso es de una gravedad tal que el embaucador no tiene otra salida que negar lo evidente. Porque desde la catequesis sabe que la gente es capaz de creer, sin pestañear, en disparates mucho mayores, y hasta pagan por ello en misa. Y les funciona, además, desde hace dos mil años. ¿Por qué razón no habría de pensar Mariano que un libro de cuentas, una pequeñez, escrito con una letra idéntica a la de Bárcenas, con apuntes contables que coinciden milimétricamente con pagos certificados por sus beneficiarios, es una burda falsificación? ¿Acaso pensáis que es más difícil creer en la existencia de una trama de manipuladores y grafólogos, urdidores de pruebas falsas para hundir al PP, que en la existencia de dios?

Cariño, esto no es lo que parece...

Claro que negar lo evidente te obliga a un colosal trabajo adicional de razonamientos paralelos (para lelos), de demostración de la existencia culposa de esa trama fantástica, una contraofensiva a la altura profesional y artística de quien te denuncia. Lo que al final nos lleva a la conclusión de que quien provee de material a los diarios El Mundo y El País en torno al entramado de financiación presuntamente ilegal del presunto Partido Popular es un genio de la falsificación que conoce los entresijos de Génova 13 como la palma de su mano, y que sin duda sacaría muchísimo más provecho falsificando recibos de bancos suizos que los cuatro duros que apenas puede recibir hoy de las arcas maltrechas de los periódicos en crisis. Desde aquí mismo le advierto que, si las cosas le van mal con esos dos periódicos, tengo para él un trabajito primoroso del que podemos ir al cincuenta por ciento. Que si sale bien, ambos podríamos chupar de él, como diría el empalmado duque de Palma.

Nosotros es que somos unos descreídos, y por eso sospechamos del patético lenguaje corporal en ruinas de Mariano y Cospedal, de su táctica infantil de defensa, como la reacción de la Dolores cuando le anuncian en plena rueda de prensa que Pío García Escudero acaba de confirmar que los asientos que aparecen a su nombre en las cuentas B se ajustan a la realidad... del pavor, en fin, que recorre las filas ya maltrechas de la derecha española.

No deja de ser asombroso, que no extraño, que la Fiscalía General del Estado no esté exigiendo ya esos papeles, pruebas de un presunto delito flagrante, para poner en marcha de oficio una investigación. O que Mariano personalmente no los haya exigido ya para lavar su honor, mientras pierde el tiempo y el poco crédito que le queda con la pamema de una auditoría interna, que además de un insulto a nuestra inteligencia no hace más que demostrar que este chico muy listo, lo que se dice muy listo no es. Son quizá los estragos que deja en el cerebro la preparación de unas durísimas oposiciones a Registrador.

Pérez Rubalcaba, el jefe de la oposición, por fin (¡alabado sea el señor Rubalcaba!), ha pedido ayer púbicamente la dimisión de Rajoy, cuando ya más de uno y de dos nos empezábamos a poner nerviosos y a preguntarnos a qué coño estaba esperando o si todavía no había leído los periódicos. ¿Es que puede haber algo más grave, para exigir la dimisión inmediata de un gobierno, que la existencia de un presidente sospechoso de ser un delincuente? ¿Sería mucho pedir al jefe de la oposición un poco más de reflejos ante el escándalo público de los indicios de una corrupción institucional que pone bajo sospecha a toda la clase política, incluido su partido? ¿Es tan difícil de entender que una reacción tibia y tardía ante semejante cataclismo también le hace sospechoso a él de complicidad ante los ojos de los ciudadanos?

Un presidente de gobierno presunto delincuente, la cópula de su partido sospechoso de recibir sobresueldos millonarios en negro, y algún que otro ministro suyo, como la ministra de Sanidad, la Mato, que no solo recibía presuntamente de la trama Gürtel los famosos bolsos del Vuiton verbenero que aparece en todas las tramas mafiosas, sino la financiación de los payasitos de los cumpleaños familiares, no pueden continuar al frente de un país.

No se trata, pues, de dejar el paso “a un nuevo presidente”, como dice lacónicamente Pérez Rubalcaba. No estamos para adivinanzas, para hacer conjeturas de dónde y cómo saldrá ese “nuevo presidente” salvador. No dé ideas, por favor, que las carga el diablo golpista. Es mucho más sencillo. A ver, repita conmigo: “Señor Rajoy, convoque inmediatamente elecciones anticipadas antes de que el pueblo indignado pierda los nervios y acabe asaltando a pedradas la sede de Génova 13. Convoque elecciones anticipadas porque está ocupando un cargo ilegítimamente, como lo demuestra el haber incumplido todas y cada una de sus promesas electorales. Convoque elecciones anticipadas porque las encuestas demuestran que ya no cuenta con el respaldo mayoritario de quienes, engañados, le votaron en las últimas elecciones generales. Convoque elecciones anticipadas porque sus recetas, no refrendadas en las urnas, para sacarnos de la crisis no sólo no nos han puesto en el camino de la salvación sino que nos han hecho mucho más pobres, más desgraciados, más tristes, mientras sobre usted pesa la sospecha de haberse enriquecido ilícitamente. Convoque elecciones anticipadas porque resulta insoportable esta sensación de que podría estar gobernándonos un partido de chorizos que se financia con empresas de construcción que a cambio reciben encargos multimillonarios de obra pública”.

De tal guisa, desde las erecciones particulares de Urdangarín pasaríamos felizmente a las elecciones generales de todos los españoles. Y nos daríamos todos juntos un gustazo que no veas. Todos bien armados, armados de otro tipo de sobres, de esos que en lugar de dinero bastardo llevan dentro el nombre de nuestras esperanzas. No es justo que sólo disfrute de la gran cópula la cúpula del PP.

El circo que gobierna España

El daño está más que hecho. El PP corrupto, corrompido y devorado hasta la medula por el poder y el dinero ha sido retratado.
Pero, antes de poner las fotos de los titulares, me pregunto si hay algo más allá de la corrupción.
Hay alguna intencionalidad en destapar esto en este momento?

Qué es más corrosivo para un gobierno? Su corrupción o su ineptitud para dirigir un país de forma independiente y soberana?
Son preguntas que me surgen cuando la escandalera está cobrando volumen a nivel nacional e internacional, y no pasa nada.
No pasa, en el sentido de que Rajoy sigue ahí, el gobierno no dimite, la justicia no actua, y lo que han hecho estos supuestos corruptos( lo de supuestos es por el tema legal) sigue en vigor.
Hablo de decretazos, de leyes que amnistían a los suyos y a su dinero sucio (y el de otros, seguro).
De amnistías a la banca. De aumento de cargas fiscales a la gente, y reducción a empresas, chorizos y bancos. De privarizaciones encubiertas, y de fomentar la privarización de lo público.
No son los unicos, pero, cuando empezó esta espiral, internet estaba en pañales, y la voz de los anónimos no se podía hacer pública.
Ahora sí.
Habría que gasearles.

El bandolero Botín dice que ve la luz al final del tunel ( visionario done los haya). Se estará frotando las  manos con este escandalo que le salpica de lleno, pero donde su nombre nuca aparecerá, y si aparece lo negará todo, como en el PP.

Además, el histórico demuestra que la ley está con él.
Si es culpable se le indulta. Y sino, se culpará a otros: dos pajaros de un tiro.
No hay duda de que la banca privada, intervenida y ayudada con fondos públicos es la que está comprando deuda española, y juega a su antojo en los mercados.
Ya llegan hasta a hacerse trampas al solitario.
Pero también financian( me la juego) tanto al PP como al PSOE. Esos son los que interesan. Al fin y al cabo el bipartidismo es lo que tiene: sino sale uno, sale el otro y la banca siempre gana.
Que es difícil de probar? Claro. Cuando el entramado es tan complejo y los que chupan  mandan y legislan para que todo quede opaco, ni el más listo de la justicia podría llegar a algo, y si llega le echan a las ratas.
La oligarquía es lo que tiene. Cuando antes había cajas de ahorros y muchos bancos de todo tipo, ahora se han ido fusionando todos.
El pez grande se come el pequeño, y las siglas de un BSCH o un BBVA, salvo la primera B es el resultado de la desaparición del Central, del Hispano, del Vizcaya y del Argentaria.
Se mezcla lo público y privado sin pudor.
Estos bancos financian a los partidos porque es una inversión. Y cualquier inversión tiene que ser rentable. En la moneda que sea, y en el beneficio que sea.

Lo mismo aplica a los grandes constructores.
La burbuja la cagaron ellos en connivencia con la casta política. Empresas como FCC, OHL, Metrovacesa, Sacyr Vallehermoso, y más en el sector también juegan a la ruleta amañada de la política.
Milagro polñitico por un lado, y milagro económico para ellos por otro.
Parece que cagan oro, cuando lo que hacen es especular a destajo. Cultura del pelotazo cortoplacista.
Instaurada e instalada en la memoria colectiva a lo lago de décadas, esa es la cultura y la marca que venden los que manejan.
Y si no formas parte de esa cultura eres poco menos que tonto perdído.

Los culapbles callan, claro. Salvo los políticos que tiene que hablar por narices y defender lo indefendible. Al fin y al cabo ellos son el pueblo y no las empresas.
A la multinacionales nadie les ha votado ni dado vela en el entierro del sitema público.
Pero los políticos sí.
Y ahí ya empieza el esperpento de defender lo indefendible. De mentir con un descaro que hasta un niño se sonrojaría. De pensar que la mejor defensa es un buen ataque. De decir tonterías descalabradas que no se tienen ni aunque las apoyen cuatro. De pensar que la gente no se entera, de que es tonta y que cualquier milonga se la van a tragar.
Hombre, no. Ya no. Con la que está cayendo, no. Con tanta mierda por todas partes, no. Con tantos recortes ( perdón austeridad), no.

En dos semanas de escándalo nadie ha dimitido. Nadie ha dicho esta boca es mia. Pero mentiras se han dicho para hartar.
Aquí hay un compendio de las perlas de este gobierno.
Las formas ya sólo por decir algo son las de los culpables.
Pero las lacónicas declaraciones del PSOE en la persona de Ron y al Cava pidiendo la dimisión de su amigo ñano ñano son para preocuparse por lo menos.
Nada de elecciones anticipadas. Nada de rendir cuentas a la justicia. Nada de cambiar nada. Nada de que la soberanía ya no la tiene  el PP.
Otra cagada de otros que han chupado y chupan.
Aquí todos chupan, y así dicen lo que dicen.

Parece que ya la "justicia" se va a meter. Será para poner paz? O para pillar al más tonto. Al menos español, es decir al que es corrupto por herencia pero no sabe hacerlo bien porque no es un listo, o porque no tiene amigos donde hay que tenerlos.
Todos se pillan los huevos a los otros. Dependiendo de la mano unos pueden más que otros. La postura ayuda a ser superior en ese arte.
El Rey está arriba, pero su yerno le tiene pillado. El yerno se ha metido con el PP Balear y a Jaume Matas del PP le tienen cogido a medias los huevos entre la monarquía y la justicia. Por cuestión de quién es quién más que por valía. Si Jaume cae, cae el PP Balear, y el siguiente sería el Valenciano.
Pero están los otros que han chupado del bote, que no son del PP.
Si llega a Valencia y se hila con la Gurtel se llega a Genova. Y Desde Genova 13 hasta castilla la mancha y Galicia.
Esto es como los montajes impresionantes de fichas de dominó.
Caerá algo?
No caerá?
El circo seguirá pero hasta cuando?
La soga de la crísis, auspiciada y fomentada por estos mismos que se forran a costa de los inocentes trabajadores que pagan sus impuestos y que si deben algo van a la carcel, no para de tensarse.